Textové pole: - CONCLUSION et INTRODUCTION I/ La conclusion : Remarques générales : Elle doit être définie, bien mise en valeur. Elle a valeur « d’épilogue ». Le but est d’entraîner l’approbation ou la critique, de déclencher ou d’infléchir la décision, d’achever tout le travail préalable de démonstration ou de persuasion. Détacher d’un blanc votre conclusion : l’aspect visuel de vos écrit guide le lecteur. N’hésitez pas à sauter deux lignes complètes avant d’entamer votre conclusion. Pas de méthode universelle. Mais soit on récapitule, soit on indique des perspectives futures. 1/ Conclusion récapitulative - Rappel des points principaux traités : vue nette et globale - Risque : paraphrase, répétition... se concentrer donc sur les principales étapes de votre réflexion. - Formule adéquate pour : · les comptes rendus, · les exposés techniques, · les historiques, · les mises au point. Ex. « Les Indiens d’Amérique du Nord », collection Que sais-je ? ( PUF 1985, p121/122) où après avoir décrit la situation des Indiens aujourd’hui et retracé leur histoire, l’auteur termine son ouvrage en faisant ressortir le trait spécifique de cette histoire à savoir que ce peuple là a réussi, au XX° siècle, à conquérir son autonomie et à faire respecter son autorité. 2/ Conclusion prospective Envisage l’avenir du problème soulevé, pose des questions en s’appuyant sur l’étude qui vient d’être faite. 3/ Conclusion mixte : Un mélange des deux précédentes. Tout en rappelant les grandes lignes du sujet, elle s’ouvre vers l’avenir. C’est la plus courante, hors thèmes abordés dans le 1/ Conseils - Ne jamais conclure sur un détail - Ne jamais terminer un devoir par une citation (sauf si parfaitement adaptée au sujet traité). Cela parasitera votre raisonnement - Possibilité de faire des conclusion transition entre les parties afin d’assurer le travail fait et poursuivre avec l’enchainement suivant. - Taille doit etre équilibrée au ragard de votre devellopement et aussi grande que votre introduction. II/ L’Introduction La réussite dépend en grande partie de ce mouvement, c’est la vitrine de thème abordé. Il faut intéresser le lecteur. L’attention se saisie de différentes manières dans une « accroche » : - pertinente au regard de l’actualité, - charmante, - inattendue, - viguoureuse, forte... Ne surtout pas répéter le thème de votre sujet. Puis donner l’envie de connaître la suite : - Faciliter la compréhension, - Expliquer le vocabulaire, le contexte... - Prendre « la main » du lecteur sur le chemin de la réfléxion. Dans les journeaux, ces introductions sont précédées, lorsqu’elles ne les remplacent pas, de «chapeau» de l’article qui est un texte court qui résume plus ou moins le sujet tout en attirant l’attention. Que dire à son sujet ? - Ne pas rentrer directement dans le vif du sujet, sans pour autant être trop général ou trop éloigné du sujet. - Etudier, analyser les termes du sujet puis se consacrer au plan. Celui-ci établi, l’introduction sera plus facile à penser. - Ne pas affirmer dès l’introduction que le problème en question n’est pas résolu car il s’agit de le poser. Donc, ne pas concluer dans l’introduction au risque de ne pas être lu puisque la réponse est déjà donnée. - Penser au paradoxe éventuel de votre sujet, à la pertinence du sujet, à ce qu’il a de cocace puis en développer l’explication. 3 questions constituent la matière de l’introduction : • Pourquoi ce problème. Montrer l’intêret du sujet • De quoi s’agit-il ? Cerner le sujet, le limiter, le définir • Quels seront les points traités ? Annoncer les divisions du plan