La littérature du classicisme[1] - c´est la période du 17^e s., on peut la dater entre 1598 (la fin des guerres de religion proclamée par l´Édit de Nantes d´Henri IV) et 1715 (la mort de Louis XIV dont le règne accompagne cette période historique), or, au début du siècle, c´est du point de vue littéraire plutôt le baroque, ce n´est que progressivement que l´esthétique classique évolue ; les deux s´interpénetrent un certain temps - politiquement, c´est surtout la monarchie absolue de Louis XIV avec plusieurs guerres, mais aussi le soutien des artistes « classiques » prouvé par la fondation de l´Académie française par le cardinal Richelieu (cet événement appartient à la fin de l´époque du baroque, mais joue un rôle plus important au classicisme et également plus tard) - la théorie de la création littéraire est définie dans les écrits théoriques de ce temps (p. ex. L´Art poétique de Boileau, les préfaces de Corneille, de Molière et de Racine, le discours du poème dramatique de Corneille etc.) - c´est le courant qui produit les oeuvres en vue de s´opposer au baroque et à la préciosité - esthétiquement, c´est la recherche de l´ordre et de la régularité dans la structure des oeuvres et dans leur style, le but du classicisme, c´est une oeuvre parfaite, son rôle, c´est d´INSTRUIRE (= mener vers le bien) et de PLAIRE - les grands principes de la création littéraire classique: § la distinction des genres § la formulation des règles propres à chaque genre et à chaque mode d´expression § la technique de l´imitation originale des modèles anciens § la référence à la nature, à la raison et à la vraisemblance - le souci de règles dans les oeuvres sort de la mentalité bourgeoise (des fonctionnaires) qui s´appuient sur la régularité, la logique, les lois - ce courant littéraire est à la fois social et moral, le canon moral de l´époque, c´est un terme historique, le but était de ne pas choquer les bienséances, l´honnête homme reste toujours l´idéal de l´époque - dans les oeuvres, il y a des débats moraux et psychologies intérieurs des personnages, on les trouve dans des pièces de théâtre, mais aussi dans de rares oeuvres prosaïques (p. ex. Madame de la Fayette, La Princesse de Clèves) - le modèle idéal de l´« honnête homme » et la conscience de la condition tragique produisent la tension entre l´honnêteté et le tragique - pour résumer nous pouvons dire avec l´internet : Le XVII^e siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature françaises en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et Racine, mais ces chefs-d'œuvre ne doivent pas éclipser d'autres genres comme le roman qui s'invente au cours de cette période ou la poésie baroque que l'on redécouvre aujourd'hui.[2] - cette esthétique classique est soutenue par le développement de la linguistique - on trouve les premiers grammaires et dictionnaires de la langue - on veut mettre en règles le fonctionnement de la langue, le définir pour pouvoir présenter les norme du travail d´un poète ou d´un écrivain plus généralement (vocabulaire, syntaxe, poétique) Ce souci de la codification du langage anime aussi les salons et les cercles littéraires : c'est par exemple la Grammaire de Port-Royal, élaborée par les Solitaires de Port-Royal-des-Champs, qui fixe pour la première fois les règles grammaticales et sert de base, jusqu’à nos jours, à la grammaire française. Si le XVI^e siècle s'était occupé d'enrichir la langue française pour la rendre rivale des autres langues anciennes et si les auteurs accueillaient volontiers toute invention, le XVII^e siècle se charge de l'épurer et d'établir des règles comme avec Vaugelas, et c'est à la fin du XVII^e siècle qu'apparaissent les premiers dictionnaires de la langue française avec Pierre Richelet (en 1680), Antoine Furetière (posthume, en 1690) et un peu plus tard l'Académie française (1694).[3] Si le baroque est une esthétique de l'incertain, du flou et de la surabondance, le classicisme est fait de retenue, d'ordre et d'ambition morale : c'est ce courant qui s'imposera en France dans la deuxième moitié du siècle avec l'intervention du monarque absolu et centralisateur qui encouragera la fondation de nombreuses académies pour veiller aux principes et aux usages admis de la pensée et des arts (l'Académie française en 1635, l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1665, l'Académie des sciences en 1666). La Cour et le roi, à Versailles, sont bien, à la fin du XVII^e siècle, en France, les maîtres du bon goût même si la " ville" et sa bourgeoisie commencent à jouer un rôle dans le domaine des arts et de la littérature avec une diffusion plus large des œuvres et un développement de la lecture.[4] POÉSIE Jean Chapelain (1595 – 1674) - il a élaboré des premiers règles poétiques classique, il est le pllus important théoricien avant Boileau, mais il pense qu´il suffit de posséder les règles pour composer une oeuvre parfaite - or, lui-même voit que ce n´est pas vrai, sa composition poétique la plus connues La Pucelle ou la France délivrée est complètement apoétique Nicolas Boileau-Despréaux (1636 – 1711) - le théoricien de la poésie classique, le 1^er des critiques de la littérature française - il écrit aussi la poésie satirique et différentes parodies avec une ironie aigue (Satires I – XII, Épîtres I – XII) - il a écrit L´Art poétique (1674) - c´est un poème où il résume la théorie et la pratique du classicisme o pour créer de la poésie, il faut du talent, mais en même temps, il faut observer des règles o l´auteur présente un système rigoureux de règles o le poème a 4 chants : § I – règles littéraires en général, sans regarder les genres – c´est l´évolution de la poésie fr. résumée · Boileau désapprécie Ronsard et la Pléiade pour les expressions « basses », mais il surestime Malherbe pour les bases posées des règles classique et Racine pour son oeuvre dramatique (Boileau défend officiellement la Phèdre de Racine) · il demande les qualités de l´auteur : il doit être surtout naturel et il doit utiliser la raison · il proclame la nécéssité de l´inspiration et des rimes parfaites § II – petits genres – idylle, élégie, satire, ode, sonnet, épigramme, rondeau, ballade · nécessité du don poétique, il ne suffit pas la préciosité pratiquée par les représentants des courants modernes § III – grands genres – tragédie, comédie, épopée · il faut connaître des modèles antiques, mais ils doivent être naturels et vrais § IV – questions pratiques - conseils de bon sens et définition de la place du poète dans la société : · le poète doit être doué et il doit approfondir son talent, étudier les règles de la littérature · on ne peut pas apprendre à faire de la poésie, on ne peut pas être médiocre · le rôle important de la raison (du bon sens) · on s´intéresse à la nature humaine (psychologie) · l´objectivité (« le moi est haïssable ») PROSE genre épistolaire - à l´époque où les moyens d´informations ont été rares, les lettres jouent le rôle du soutien des contactes entre les personnes, mais en même temps celui de la diffusion des informations sur les événements différents - une épistolière réputée, c´est Madame de Sévigné (1626 – 1696) – elle a écrit énormément de lettres, surtout à sa fille Mme de Grignan (1400 lettres) o elle manifeste un style de qualité, un don d´observation et un art de conteur remarquable o les lettres sont pleines d´événements actuels, d´anecdote d´époque et des récits piquants roman - ce genre n´est pas très apprécié, on ne peut pas y pratiquer bien les normes exigées par l´époque, mais il y a quand même l´orientation vers la psychologie qui est acceptée - une des rares oeuvres de qualité, cést La Princesse de Clève de Madame de la Fayette (1634 – 1693) o le personnage principal, cést une jeune dame, très belle, l´auteur présente ses sentiments intérieurs : elle est mariée avec un vieux comte et elle lui reste fidèle même si elle tombe amoureuse d´un jeune duc o elle sait maîtriser ses passions, elle se sert de sa raison, même après la mort de son mari elle refuse le duc, elle dit : « J´avoue que les passions peuvent me conduire, mais elles ne sauraient pas m´aveugler. » o c´est la fidélité et la maîtrise de soi (= sebeovládání) qui comptent beaucoup pour cette société du classicisme o la dimension théâtrale des scènes et la sobriété du style sont aussi appréciés Les " moralistes " On nomme ainsi les auteurs qui dans des genres divers ont exploré le comportement des hommes avec des approches souvent pessimistes comme Blaise Pascal - Bossuet - La Rochefoucauld – et les mémorialistes comme le cardinal de Retz et Saint-Simon. Cette " analyse de l'âme " peut cependant prendre un caractère plus enjoué comme avec Madame de Sévigné et ses fameuses Lettres ou avec La Bruyère et ses Caractères. Une œuvre singulière : Les Fables de La Fontaine A travers un genre à part mineur et non codifié, La Fontaine (1621-1695) s'inspire, comme les autres classiques, dans ses fables, des Anciens mais aussi du folklore français et étranger. Il imite ses maîtres avec une grande liberté. Tout comme les personnages de Molière, ses personnages représentent toutes les couches sociales. En moraliste La Fontaine dépeint toute la société française de la seconde moitié du siècle. La recherche du bonheur, l'homme et le pouvoir sont les deux thèmes chers à La Fontaine qu'on retrouve dans ses «Fables» (1668-1696). La fable qui était avant La Fontaine, un genre bref où l'anecdote se hâtait vers la morale, devient chez lui une ample comédie où tout est mis à sa place: le décor, les personnages, le dialogue.[5] René Descartes (1596 – 1650) - avec de bonnes études classiques, il se consacre à la philosophie, mais il supporte mal l´autorité de la Sorbonne, il part en Hollande - il vit en solitaire, il est mal compris, souvent attaqué ; on connait sa correspondance - la reine Christine l´invite en Suède, à sa cour (mais il support mal le climat et meurt à l´âge de 54 ans) - il est rationaliste, il pense que Dieu a crée le monde et son rôle en a fini, Dieu est donc selon lui inutile pour nous Discours de la méthode (1637) – 6 parites - il présente des divers savoirs (sciences exactes, belles lettres etc.) - les règles de sa méthode – doute méthodique o 1 – règle de l´évidence – il faut douter, prendre connaissance des choses, ne recevoir jamais aucune chose pour vraie o 2 – règle de l´analyse – il faut diviser la difficulté examinée en petites parties pour pouvoir meiux les connaître o règle de la déduction synthétique – il faut conduire des pensées par l´ordre, commencer par des objets les plus simples et monter vers ceux les plus composés o règle de l´énumération – il faut faire des revenues générales et s´assurer de ne rien oublier - les conséquences morales de sa méthode – il faut obéir aux lois et aux coutumes de notre pays et il faut savoir changer nos désirs plutôt que l´ordre du monde - partie méthaphysique – il donne les preuves de l´existence de Dieu et de l´âme humaine – l´homme découvre son imperfection et doit reconnaître le parfait (Dieu) par sa raison, ce n´est pas la question du coeur (Descartes critiqué pour l´athéisme) - il retourne aussi dans la physique, il compare la nature des hommes et celle des animaux ; elles sont différentes comme les machones et les automates - une conclusion postérieure : il explique son oeuvre : « Je doute, donc je pense ; je pense, donc je suis. » - à l´époque des libertins, on parle d´un héroïsme moral de Descartes, basé sur la volonté, la discipline et la maîtrise de soi : la volonté est libre, il faut la guider (nos passions peuvent être utiles et conduire à la vertu Méditations métaphysiques – en latin, il répond aux attaques sur son Discours Principes de la philosophi Traité des passions de l´âme - oeuvres plus prudentes, impersonnelles - 212 articles sur la psychologie humaine - il complète le système cartésien en l´enrichissant de reflexions sur la morale - les passions sont les « plasirs à part » de l´âme - la volonté de l´homme peut les transformer en triomphe du coeur et de l´esprit Blaise Pascal (1623 – 1662) - physicien, mathématicien, savant, moraliste – il est contre le rationalisme de Descartes - Pensées – la présentation de la morale chrétienne, la seule vérité et le bonheur se trouvent dans le christianisme La Rochefoucauld (1613 – 1680) Réflexions ou Sentances et Maximes morales - reflet d´une vie manquée, préoccupations des salons de l´époque - c´est une théorie pessimiste de l´homme (qui est selon lui en prison de sa propre nature) - l´observation + la « pointe » (un laconisme) Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Fables - genre didactique en prose, un style sec et rapide - enseignement sur la sagesse et la prudence La Bruyère (1645 – 1695) - il observe l´homme dans les milieux bourgeois Les Caractères de Théophraste, traduits du grec, avec les Caractères ou les Moeurs de ce siècle (1688) - les portraits-types, le lecteur est invité à déduire ce type selon la peinture de l´auteur - les images sont réelles, tirées de la société de l´époque, la philosophie est pessimiste Jacques Bénigue Bossuet (1627 – 1704) - évêque, maître de la prose du 17^e s., maître de l´éloquence de la chaire (= kazatelna) - il influence les rois par ses théories politiques Politique tirée de l´Écriture sainte – selon lui, la monarchie est la forme la plus naturelle du gouvernement, le roi doit utiliser la raison et être responsable devant Dieu Oraisons funaibres – l´influence du style baroque - représentant du rationalisme X le mysticisme de : Fénélon (1651 – 1715) - connu pour son roman pédagogique Les Aventures de Télémaque o Télémaque, c´est le fils d´Odyssé o il cherche son père accompagné par un ami (= mentor, en fait, c´est la déesse Minerve) o il observe les choses différentes, son ami lui donne un commentaire, le thème de la reféodalisation de la société comme le remède contre l´absolutisme Théâtre classique La tragédie Nombreux sont les auteurs de tragédies mais deux d'entre eux la conduisent à sa perfection: Pierre Corneille (1606-1684) et Jean Racine (1639-1699). Corneille prête un grand intérêt aux affaires d'État : le salut de Rome (Horace), le sort de la ville de Séville, menacée par les Maures (le Cid). Le Cid (1637) fait date dans l'histoire du théâtre. C'est la première véritable œuvre classique. L'action des pièces de Corneille, pour la plupart historiques, est complexe et parfois chargée d'événements. L'auteur ne se lasse pas de peindre des individualités fortes et volontaires telles Rodrigue, Chimène, Horace, Auguste, Polyeucte pour qui l'appel de l'honneur est irrésistible. En choisissant ces exemples d'énergie humaine, Corneille donne des modèles de conduite dont la politique de la monarchie absolue avait besoin. Racine quant à lui appartient à la génération suivante, plus strictement "classique" et peint la passion comme une force fatale qui détruit celui qui en est possédé. Réalisant l'idéal de la tragédie classique, il présente une action simple, claire, dont les péripéties naissent de la passion même des personnages. Les tragédies profanes (c'est-à-dire Esther et Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu'elle appartient à un clan rival (Aricie dans Phèdre). Cette rivalité se double souvent d'une rivalité politique, sur laquelle Racine n'insiste guère. Les comédies de Molière Le génie de Molière (1622-1673) est inséparable de l'histoire du théâtre classique français. Ses comédies de mœurs et de caractère représentent une véritable galerie de la société du XVII^e siècle. Son premier souci est de «plaire». Pour lui plaire voulait dire rire. Et le rire est son arme. Son comique est toujours significatif. Molière cherche le réel des situations et excelle dans la peinture de la nature humaine. les buts des auteurs : Corneille – FAIRE ADMIRER Racine – TOUCHER Moliere – PLAIRE Pierre Corneille (1606 – 1684) Voir - http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Corneille – l´auteur de la période du passage entre le baroque et le classicisme - il n´écrit pas des pièces régulières, mais il il tient l´unité du temps et du lieu - il veut présenter des héros dynamiques – il travaille leur psychologie, il les montre avec leurs combats intérieurs (passions X raison ; amour X honneur), ils sonts eux-mêmes maîtres de leurs destins - l´auteur des comédies (L´Illusion comique), des tragicomédies (Le Cid) et des tragédies o tragédies de la Gloire : § la Gloire et l´Amour (Le Cid) § la Gloire et l´Histoire (Horace) § la Gloire et l´État (Cinna) § la Gloire et Dieu (Polyeucte) § la Gloire et la vengeance (Rodogune) § la Gloire et le mépris (Nicomède) § tragédie de la tendresse (Suréna) Jean Racine (1639 – 1699) Voir http://adlitteram.free.fr/biographie_racine_1.htm - l´auteur d´un théâtre sérieux, pièces profanes, plus tard l´historiographie du roi - il explique certains changements dans la création dramatique classique par rapport à la période du baroque dans la préface du drame Andromaque (1677) - grâce à lui, le drame psychologique est vraisemblable, les héros des couches supérieures, les véritables protagonistes – les femmes - l´amour comme une passion fatale et destructrice Britannicus – tragédie psychologique, fils de Nérom X Agrippine Bérénice – un amour sacrifié pour les raisons d´État Mithridate – passion d´un vieillard pour une jeune femme, tragédie politique Iphigénie en Aulide – personnage nouveau Phèdre – da dernière femme « damnée » ou « fatale » qui aime son beau-fils, mais celui-ci aime une autre femme - le thème de la jalousie, des remords - elle avoue sa faute et s´empoisonne 5 actes d´une tragédie classique : EXPOSITION DÉVELOPPEMENT NOEUD PÉRIPÉTIE DÉNOUEMENT Molière (1622 – 1673) Voir http://www.toutmoliere.net/index.html - il accentue dans ses pièces la véracité humaine, la peinture satirique de la vie, les problemes actuels, les nuances du rire - il veut analyser les caractères, il critique l´hypocrisie, l´avarice et d´atures défauts humains typique pour la société bourgeoise, il écrit des satires (contre les médecins, l´imitation des manières de la noblesse par les bourgeois, les femmes trop désirant l´érudition et la sagesse qu´elles en oublient leurs dévoirs naturels ...) - L´Avare - Tartuffe - Misanthrop - Le Bourgeois gentilhomme - ... L'opposition tragédie / comédie Tragédie Comédie Ressort purgation des passions par l'émotion (cf. Aristote : catharsis- terreur et pitié) corriger les mœurs en riant Action aventure extraordinaire éloignée dans le temps (légendes, mythes, histoire de l’Antiquité) aventure ordinaire et contemporaine (argent, ambition sociale, mariage, tromperie conjugale...) Personnages hors du commun (rois, guerriers...) familiers (bourgeoisie, peuple, petite aristocratie) Tonalité fatalité et mort, destin individuel et collectif, universalité de la condition humaine (dénouement malheureux) réalisme relatif (reflet d’une société donnée - vieillissement ? - mais aussi travers humains éternels) + rire ou sourire, effets comiques variés et fin heureuse (farce grossière ou finesse - comique de mots, de gestes, de situation, de caractère, de mœurs) Forme langue soutenue, alexandrins, 5 actes langue standard ou familière (en prose ou en vers, en 1, 3 ou 5 actes) Règles trois unités (temps, lieu, action), vraisemblance et bienséance souplesse Titre nom propre (Andromaque, Phèdre, Horace...) nom commun ou personnage collectif (L’Avare, Les Femmes savantes...) ________________________________ [1] Voir aussi : Šrámek – Přehled dějin francouzské literatury. FF MU, Brno 1997. ISBN 80-210-1584-5 Dictionnaire Bordas de la littérature française. Bordas, Paris 1994. ISBN 2-04-028041-3 Berthelot, Bury, Cherpentier – Langue et Littérature. Anthologie Moyen-Age – XVIe – XVIIe – XVIIIe siecles. Nathan, Paris 1992. ISBN 2.09.172033.X [2] http://fr.wikipedia.org/wiki/Litt%C3%A9rature_fran%C3%A7aise_du_XVIIe_si%C3%A8cle [3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Litt%C3%A9rature_fran%C3%A7aise_du_XVIIe_si%C3%A8cle [4] Ibid. [5] Ibid.