*. nOIHISS«'» Ii • Ii'III >'. I IUI i ■ 'I I I. I Ii V IIUINIHHri. I I I I 11 Ii MIM I I II l\ II III ( huutd /.' mi/', ciihr '..i ffinn H ' il (avoii l'ali I bier 1 H (scmbh'i) i.itii'.in', iit Hn111it H ■ I'OIII llcll 1 7 - |e (avoir) un accrochage. - Comment ga t'(arriver) ? - Ii (pleuvoir) et la route (etre glissanlc), je (freiner) trop tard et je (rentrer) dans la voiture de devant. - Tu (aller) vite ? - Non, heureusement. 8 - Vous (ne pas pouvoir) venir hier ? - )'(avoir) un empechement. - On vous (regretter). 9 - Je (vendre) ma voiture ! enfin ! - Tu (bien la vendre) ? - Non ! elle (avoir) plus de 130 000 km ! - Mais elle (marcher) encore pas mal ! tu (s'en acheter) une autre ? - Pas encore. 10 - Vous (etre sur le point) de partir ? - Oui, \'(aller) partir. - Je ne vous retiens pas ; je repasserai. - Merci, car je suis presse. PASSE COMPOSE Ii,míľ i liiiinoli)()i(|iiľ du r i 'i il, sequence ďévénements ľ,n passé mon enfance dans un village de la kontiere espagnole........................................... Une nuit............................................................. je suis partie pour Paris dans la voiture d'un client. |'y suis restee un an. Au bout d'un an j'ai eu assez de Paris, je suis partie pour Marseille............................................................. I'ai pris une place de barmaid sur un yacht. On a mis le cap sur l'Atlantique. Quelques heures apres le depart, le lendemain vers dix heures un matelot a vu sur la mer un petit point insolite. Le patron a pris des jumelles et il a vu un homme ä 1'avant d'un canot...... On a arrete les machines, on a abaisse la pas-serelle, un matelot l'a hisse sur le pont. Puis il s'est evanoui. On l'a ranime avec des gifles, du vinaigre, on lui a fait boire de l'al-cool. Il a bu puis il s'est endormi la, sur le pont. Il a dormi huit heures. Je suis passee souvent ä cote de lui, souvent........................ le l'ai beaucoup regarde................................... B. Entrainez-vous ä deux, en dialoguant. Le soir, je suis allee le retrouver dans sa cabine. l'ai allume ............................................ Il m'a reconnue, il s'est releve et il m'a demande si c'etait pour qu'il quitte la cabine. Je lui ai dit non. C'est comme ga que cela a commence. IMI'AIII All ( < »u til It'll I. t ir i -.. ,111K'li' pl.lll, Mlll.tlloil t Hl ftflll t Mlt| nlj,{III: t ' j'avals 19 am, La peau de sa figure D'aprés M. Duras, Le Marin di Rd. 85 n. iiwi«! i ii-i.if.f i li- i 11111 >. 111.111 i it Mir (in 11 If Id MI Hill k ill i'' i 11' i ' 11 11.nr. • i" • i Irl niť, de i uliti", i our i lie detlieie 1,1 11.11 (-. It' lollp Mil II,iii l(", illnmls do 1,1 iii.li',i Hi MOUTON 3ord de la route, les pieds du fossé i Jolphine i'l iressnienl mi gros moulou eur oncle Alfred un jour ,r.i". ,iii lever;, iiiiclle t in que il i'l,ni venu ä la ferme leur avait me Ii posalt sa téte tantöt sur les i' Mx de l'une, tantöt sur les genoux I'.iulre el ils chantaient tous les i une i iet ite chanson qui commen-I .iinsi : « Y a un rosier dans mon Im » I I ( AN AMI > I I I A I'ANIIII 1,1 A |>1.11 venire d.iir, Ic pie, I lelplune e| M.illlielle el ik 11,1 lei 11 I < -ui {',oo(',r,iplilr dans le meme livic el il y ,iv,ul un i.in,ml qui ,illonge;iil le con enlre leurs deux tdtes pour regarder les cartes et les images. C'£tait un joll canard. Il avait la tete et le col bleu, le jabot couleur de rouille et les ailes rayees bleu et blanc. Comme il tie savait pas lire, les petites lui expll quaient les images et lui parlaient des pays dont le nom etait marque sut la carte... M. Ayme, Les Conies du. chat pen hi A. t hoislsacK i 11 Mill i'. Ulil i i ilIV It-Ill I mu véiltlri B. Lisez ces contes en mettant les verbes ä l'imparfait. y avait UNE FOIS, un enfant orphelin in n'(avolr) ni pere ni mere et {aller) ndiei de porte en porte [...]. y avait une fois, dans l'Tle 1 uiessant, une belle jeune fille de i 17 ans qui (s'appeler) Mona Kerbili. pere de Mi ma (etre) pecheur et (pas-presque tout son temps en mer; sa re 11 ultlver) un petit coin de terre [...]. y avait une fois une dame riche, qui Imeurer) dans un beau chateau et [avoir) une fille et une belle-fille. Sa [s'appeler) Catho et (etre) laide, sale mechante. Sa belle-fille, nommee Fine, (etre) jolie, gracieuse, sage et ine. La dame n'(aimer) que sa fille, a elle (donner) tout ce qu'elle (desirer), beaux habits et des bijoux et elle ester) leanne qui (etre) habillee et lee comme une servante [...]. Il y avait une fois, un magicien et une magicienne. lis n'(avoir) pas d'en-fants et ils (desirer) en avoir [...]. Il etait une fois, deux soldats qui (etre) amis. Ils (etre) de la meme commune et on les (voir) presque toujours ensemble. L'un (s'appeler) Iann et l'autre Iouenn [...]. Il etait une fois trois jeunes gens, trois freres, qui (habiter) un vieux manoir avec leur mere qui (etre) veuve. Depuis la mort de leur pere, on (entendre) chaque nuit du bruit dans la chambre ou il etait decede et on ne (savoir) pas quelle (pouvoir) en etre la cause. Personne n'(oser) coucher dans cette chambre et la veuve (parler) d'abandonner le manoir (...]. Contes populaires de Bretagne C. Imaginez la suite de l'un de ces contes. 86 " |o (ummcna'i) di". elude, do droit in.us, comme c'(llre) l,n ilo ,i I'epoqtie on (appmdn) un .licit* memoire quin/.e jours avant I'examen, mais on n(aller) pas au cours. |e (faire) en méme temps une licence de philosophic et puis, je (s'apercevoir) que e'etait plutöt vers la philosophie que je (aller). Mors, je (devenir) profes-seur de philosophie dans un lycée de province ä Mont-de-Marsan. Je (commencer) ä Mont-de-Marsan le leroctobre 1932 et je (prendre) ma retraite le Ier octobre 1982 e'est-a-dire jour pour jour cinquante ans aprěs. Mais, le sentiment que je (aller) passer ma vie ä répéter un cours ne (etre) pas possible surtout qu'en méme temps je (avoii) un i'.mihI f,i iiil lie I I lure , '.mi', de. Inline", lit", mode:,les, iii,lis elillli, tit", Penlance [(eswi i it'nulii n ment de transformer le p.iy sage francais urbain ou rural en terre d'aventures. Avec mes camarades quand nous (are) au lycee, le jeudi ou le dimanche - le jeudi c'(elre) le jour de conge ä Pepoque -on partir) de tel endroit de Paris et on (marcher) tout droit en direction de la banlieue aussi loin que nos jambes (pouvoir) nous porter. Qa nous (emmener) dans des aventures extraordinaires. Done, il s'(agir) pour moi d'as-socier une profession qui (etre) celle de professeur de philosophie et le goüt de Paven-ture. I 1/illM' ilivi/l .1 Uli", iii.lilu i|l|i' I ,1111101,Ii', Uli I'M'.lr ,1 I rll.llioel 1 O ii li'lli'l |l,l', III", lot hen lif .i I ó|)ui|iie 11-, mil Vol',It,lilt", li [MIM) pil', telle nionl voy,i|;ei el, un br.iu 111,illll le duet lelll tle I I mir normale nie (Iťlr/ilinMť/l el me (dire) l.'.l to nur vi m-, vmilr/ partir pour le Brésil?" Et je (parlir) polil le Mn-.il 1 " © Pelletier/Gammfl D'.ipri's um' nul', .i, ni ďApostrophe tle H l'lvnl consaerée ä Cliimlr l.i'vi Mi.nr anthropologic ir.....nun B. Formulez les questions suivantes et repondez-y Par l'etude de quelle discipline Levi-Strauss (commencer) ? a-t-il commence" Qu'est-ce qui l'(conduire) a entreprendre d'autres ......................... etudes ? Finalement quelle discipline il (choisir) d'enseigner ? ......................... En quelle annee il (commencer) a enseigner ? ......................... Quand il (prendre) sa retraite ? ......................... Pour quelles raisons il (abandonner) son poste en ......................... France ? Comment (se manifester) son gout pour l'aventure ........................ lorsqu'il (etre) lyceen ? ........................ Comment il (faire) pour partir a l'etranger ? ........................ Cela lui (etre facile) ? ........................ Pour quel pays il (partir) ? ........................ 87