MASARYKOVA UNIVERZITA V BRNĚ PEDAGOGICKÁ FAKULTA FJ1005 Dějiny Francie – seminář Grand schisme dʼOccident (1378 – 1417) Seminární práce Autor práce: UČO: Brno 2018 Ce travail a pris comme son but dʼapprocher la problématique du grand schizme dʼOccident, quels événements y ont conduit et quelles en ont été les conséquences. Le statut de lʼÉglise en France est très différent de celui en Italie et le reste de lʼEurope. Pendant le trois siècles (à partir de 11^e siècle) il y a beaucoup dʼaffrontements entre les papes et les empereurs qui touchent toute la société de cette époque. LʼÉglise en France est peu à peu en train de tomber. Les papes ne sont pas capables de surveiller tous leurs bureaux à cause du nombre, ni les monastères ni les autres institutions ecclésiastiques. Au fur et à mesure la décadence morale commence à se manifester.[1] Après tout cela, dans la première moitié du 14^ème siècle éclate la guerre de Cent Ans ce qui ne fera quʼaggraver les problèmes dans la société. Le problème nʼest que la guerre, avec elle ils sʼapparaissent aussi les maladies comme la peste ou les problèmes liés avec le manque de nourriture – la famine. Déjà au début du 14^ème siècle on a commencé à parler de la réforme de lʼÉglise (au concile de Vienne en 1311).[2] Cette idée de réforme est considéré comme lʼune des causes du schisme. Ce qui est aussi important de mentionner, cʼest que cette époque ci (à partir de lʼanné 1309) est aussi connu pour la résidence du pape en Avignon (la papauté dʼAvignon). Cʼest que le pape (comme un chef de lʼÉglise catholique romaine) avec sa cour sʼinstalle dans la ville dʼAvignon au lieu de Rome. [3] Pour la France et même pour le pape est cette réinstallation à Avignon avantageuse. Le pape gagne une protection forte de la parte de France et la France, dʼautre part, gagne le prestige.[4] Cet état (la papauté dʼAvignon) dure jusquʼà lʼanné 1378. Après la première moitié du 14^ème siècle les cardinaux commencent à se rendre compte quʼils ne sont que des pantins entre les mains du pape. En 1352 ils posent comme condition que si lʼun dʼentre eux est élu le pape au conclave, il respectera les cardinaux. Par cet accord les relations entre le pape et les cardinaux ont été modifiés.[5] Pendant les années 1360 la présence du pape en Italie est indispensable, en 1367 le pape Urbain V prends sa Curie à Rome mais il est confronté aux attaques de ses adversaires et forcé de partir et en 1370 de rentre à Avignon. (où il meurt en decembre la même année). Le pape prochain étant élu quitte Avignon et se rend à Vatican. Là, avant sa mort en 1378, il constitue par decret « Periculis et determentis » que le conlave devra avoir lieu là où il y aura présent le plus grand nombre des cardinaux. Lʼautre condition est que la prise de décision doit être libre et rapide.[6] Le 8 avril 1378 après vingt-sept ans le pape est élu à Rome de nouveau et cet pape est un Italien, pas un Français. Mais les problèmes vont apparaître, parce que le conclave a été pressé par les masses qui avaient menacés les cardinaux de mort sʼils ne vont pas élire le pape cet fois un Romains ou au moins un Italien. Après tout ils ont élu Bartolomeo Prignan de Bari le pape et il reçoit le nom Urbain VI, il est Italien alors les masses sont contentes.[7] Ce pape est conscient que lʼÉglise a besoin dʼune réforme, mais il y tient trop. Il agit trop fort avec les cardinaux et eux avec le soutien du roi français, ils nient la validité de lʼélection du pape et encore la même année le 20 septembre le pape est élu à Fondi. Il est appelé Clément VII et considéré par lʼÉglise catholique comme un antipape.[8] Cʼest le moment où le Grand schisme dʼOccident commence, le plus long schisme qui a divisé lʼÉglise à deux parties. En générale, Urbain VI installé à Rome est soutenu par lʼItalie, lʼémpereur germanique et lʼAngleterre. Au contraire Clément VII installé à Avignon a le soutien de la parte de la France (le roi Charles V), de lʼEcosse, de lʼAragon, du Portugal, du Navarre et puis de la Castille.[9] Les années suivantes (pendant plus que 30 ans), chaque partie va élire son propre pape. Lʼune partie de laquelle le pape est à Rome : Boniface IX prendre le gouvernement en 1389. Après lui cʼest Innocent VII (en 1404) et enfin Grégoire XII en 1406. Lʼautre partie qui a son pape Avignon (les antipapes) : Clément VII en 1394 est remplacé par un espagnol Benoît XIII, puis en 1423 ce sera Clément VIII.[10] En Angleterre, vers 1376, le clergé catholique est attaqué par Wyclif qui dit que lʼÉglise doit être reformé et il demande au roi de prendre du bien de lʼÉglise. Il veut que la bible soit translatée parce que les gens nʼont pas besoin dʼavoir lʼintermédiaire pour interpréter le message divin. « Enfin il nie la doctrine catholique de la transsubstantiation qui affirme que le Christ est réellement présent dans lʼEucharistie. Il commence à traduire la Bible en anglais. ...»[11] Après quelques années en Bohême ce sera Jean Huss qui va critiquer le haut clergé. Il affirmera quʼil respecte le pape (Jean XXIII). Le peuple va écouter Huss et il va sʼidentifier avec sa façon de voir. Cʼest Clément VII, après la mort de son adversaire Urbain VI en 1389, qui éspère dʼêtre reconnu comme le pape légitime, mais cela nʼarrivera pas. Le conclave va élire lʼun entre eux pape qui reçoit le nom Boniface IX. Pendant son règne lʼétat papal fleure concernant le militaire ainsi que les finances.[12] Pendant les années du schisme, il nʼest pas possible de parler de la politique du pape, parce que tous les papes cherchent à assujettir le plus de territoire possible et à assurer lʼobéissance du plus grand nombre de ses moutons pour quʼils aient le pouvoir et lʼinfluence.[13] Cette crise de la papauté cause de critiques crueles contre le pouvoir et aussi contre la croyance de lʼÉglise catholique.[14] La toute première cʼest la France qui réalise que cet état dʼÉglise nʼest plus tenable. Elle se joigne à lʼAngleterre et à la Castille en 1397 et ensemble ils envoient deux délégation – une pour chaque des papes, sans succès. Un an plus tard la France sʼécarte de Benoît XIII et en 1408 elle déclare sa neutralité. LʼÉglise commence se sentir menacé et les plus hauts responsables de lʼÉglise également essaient de trouver une solution à cette situation. Il y a plusieurs efforts pour résoudre la situation pourtant ils ne réussissent pas. En 1408, le dernier effort des papes est de se rencontrer à Savone en Italie, mais au fin les papes ne réaliseront jamais cette rencotre. Seulement quelquesʼuns de leurs cardinaux se sont rencontrés et ils se sont mis dʼaccord que ces problems doit être gérés au concile à Pise.[15] Le concile à Pise sʼouvre le mars 1409 avec le procès contre tous les deux papes : Grégoire XII (pape) et Benoît XIII (antipape). Le concile les destitue de ses positions du pape et il élie le nouveau pape, Alexandre V sa fonction est reprise un an plus tard par Jean XXIII. Malgré tout, lʼunité de lʼÉglise nʼa pas réussi à se renouveler. Même si le peuple est du côté du nouveau pape, les deux destitués refusent le résultat du concile.[16] Celui-ci cʼest un temps unique et seul où les trois papes se trouvent au milieu de lʼÉglise. Même si cette situation peut paraître encore pire quʼelle ne lʼétait, au cotraire, lʼÉglise va mieux, seulement grâce au Concile de Pise peut être plus tard initié le Concile de Constance en Suisse en 1414. Cette ville était choisie par lʼempereur Sigismond I^er à cause de sa position stratégique. Ce Concile est le plus grand et le plus long dans lʼHistoire et ils y participaient le plus grand nombre des personnes. Encore plus quʼavant cette réunion ecclésiastique est influencé par les représentates dʼuniversités et par les princes.[17] Au Concile, commençant le 5 novembre 1414, sont présent au début quatres nations : lʼItalie, la France, lʼAllemagne et lʼAngleterre.[18] Cʼest la crise – la position du pape - quʼelle y est traitée. Ce problème est résolu le 20 mars 1415 quand Jean XXIII quitte Constance et neuf jours après il est suspendu (le 29 mai). Le pape romain Grégoire XII est forcé dʼabdiquer (ce que Grégoire XII acceptera pour faire « table rase » de lʼensemble de la crise). Il convoque à nouveau le concile par la voix de son légat et démissionne le 4 juillet 1415. Ce qui mets fin au Grand Schisme.[19] Entre-temps ils y sont traités plusieurs choses. Le procès avec Jean Huss qui y est supplicié et en étant dénoncé comme hérétique, il est brûlé vif en juillet 1415. Jérôme de Prague est condamné pour hérésie onze mois plus tard et il est brûlé vif comme son prédécesseur, Jean Huss.[20] « Les Tchèques se soulèvent de 1419 à 1436. Ils sont sauvagement réprimés par la chevalerie allemande... »[21] « Avant de procéder à une nouvelle élection, les Pères conciliaires sʼassurèrent de leur indépendance en votant le 30 octobre 1417 le décret Frequens. »[22] Ce décret oblige le futur pape à tenir des conciles chaque dix ans et détérmine les règles à respecter. Par la suite, un conclave aura lieu en 1417 dans le cadre du Concile de Constance, qui va élire le 8 novembre 1417 le nouveau pape Otto Colonna en recevant le nom Martin V, reconnu dans toute lʼÉglise catholique, mettant fin à ce schisme papal.[23] Ce pape régne jusquʼà 1431. « Martin V, fut élu à la quasi-unanimité le 11 novembre 1417, fête de saint Martin, par un conclave élargi pour la circonstance : le collège des cardinaux de toutes obédiences, renforcé par six députés de chaque nation du concile : France, Angleterre, Allemagne, Italie, Espagne. »[24] Benoît XIII refuse dʼadmettre les résultats du conclave et au moment de sa morte il force l´un de ses quatres cardinaux qui sont présents à choisir le pape entre eux. Même si Clément VIII est « élu » le pape par les autres trois cardinaux, il n´est jamais reconnu le pape légitime par lʼÉglise. Malgré ses obstacles la papauté reste une institution ressemblant à la monarchie absolutiste qui mène le catholicisme. Effectivement les conciles de Constance (1414-1418) et apès aussi celui de Bâle (1431-1449) ne reussissent pas en introduire lʼidée que les conciles doivent être supérieurs aux papes. Par contre, les souverains en profitent pour affaiblir le rôle de la papauté dans leurs États. En France, en 1438, le roi Charles VII édicte la Pragmatique sanction à Bourges quʼelle atteste que les conciles sont supérieurs au pape. « Elle met fin aux privilèges financiers dont la papauté disposait dans le royaume et elle rétablit lʼélection des évêques par les chanoines. Cʼest la naissance dʼune Église catholique « nationale » française : le gallicanisme. La Pragmatique sanction restera en vigueur jusquʼau concordat de 1516. »[25] Cette division de lʼÉglise ouvre lʼespace aux critiques et aux remises en question. Des théories nouvelles de John Wyclif ou Jean Huss peuvent se propager, tandis que les clergés se divisent entre sympathisants du pape et de lʼantipape qui se compromettent mutuellement. Le terrain est préparé pour la Réforme dont Wyclif et Huss sont les uns des précurseurs.[26] Les sources Les livres: FISCHER, Heinz-Joachim. Dějiny papežů. Olomouc: Fontána, 2005. Genèse et débuts du Grand schisme dʼoccident: (1362-1394.) : Avignon, 25-28 septembre 1978. Paris: Centre nationale de la recherche scientifique, 1980. Colloques internationaux du Centre national de la recherche scientifique. (p. 591 – 605) HAY, Denis. Evropa pozdního středověku 1300-1500. Praha: Vyšehrad, 2010. Disponible aussi sur: http://www.digitalniknihovna.cz/mzk/uuid/uuid:05cd1dc0-44fe-11e7-b56f-005056827e52 MRÁČEK, Pavel K. Příručka církevních dějin: pro SŠ. Praha: Krystal, 1995. SCHATZ, Klaus. Všeobecné koncily: ohniska církevních dějin. Brno: Centrum pro studium demokracie a kultury (CDK), 2014. Les sources électroniques: Avignonské zajetí. Wikipédia, lʼencyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-4] Disponible sur: https://cs.wikipedia.org/wiki/Avignonsk%C3%A9_zajet%C3%AD Concile de Constance. Wikipédia, lʼencyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_de_Constance Grand schisme dʼOccident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. Grand schisme dʼOccident. Wikipédia, lʼencyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident#Le_Schisme Papauté dʼAvignon. Wikipédia, lʼencyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Papaut%C3%A9_d%27Avignon Papežské schizma. Wikipédia, lʼencyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://cs.wikipedia.org/wiki/Pape%C5%BEsk%C3%A9_schizma ŽILKA, Jiří. Mgr. Velké západní schizma. Gymnázium a Jazyková škola s právem státní jazykové zkoušky Svitavy, 2013 [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:SvmqEPlBNo8J:https://www.dumy.cz/stahnout/129 289+&cd=10&hl=cs&ct=clnk&gl=cz ou elle peut être téléchargeée sur: https://www.dumy.cz/stahnout/129289 ________________________________ [1] MRÁČEK, Pavel K. Příručka církevních dějin: pro SŠ. Praha: Krystal, 1995. (p. 40 – 52). [2] SCHATZ, Klaus. Všeobecné koncily: ohniska církevních dějin. Brno: Centrum pro studium demokracie a kultury (CDK), 2014. (p. 114) [3] Papauté d'Avignon. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Papaut%C3%A9_d%27Avignon [4] Avignonské zajetí. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-4] Disponible sur: https://cs.wikipedia.org/wiki/Avignonsk%C3%A9_zajet%C3%AD [5] HAY, Denis. Evropa pozdního středověku 1300-1500. Praha: Vyšehrad, 2010. (p. 255 – 256) [6] FISCHER, Heinz-Joachim. Dějiny papežů. Olomouc: Fontána, 2005. (p. 34 – 35) [7] SCHATZ, Klaus. Všeobecné koncily: ohniska církevních dějin. Brno: Centrum pro studium demokracie a kultury (CDK), 2014. (p. 114) [8] Ibid. (p. 116) [9] Ibid. (p. 116) [10] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [11] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [12] ŽILKA, Jiří. Mgr. Velké západní schizma. Gymnázium a Jazyková škola s právem státní jazykové zkoušky Svitavy, 2013 [en ligne]. [2018-11-5] Disponible sur: https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:SvmqEPlBNo8J:https://www.dumy.cz/stahnout/129 289+&cd=10&hl=cs&ct=clnk&gl=cz ou elle peut être téléchargeée sur: https://www.dumy.cz/stahnout/129289 [13] HAY, Denis. Evropa pozdního středověku 1300-1500. Praha: Vyšehrad, 2010. (p. 258) [14] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [15] HAY, Denis. Evropa pozdního středověku 1300-1500. Praha: Vyšehrad, 2010. (p. 259) [16] SCHATZ, Klaus. Všeobecné koncily: ohniska církevních dějin. Brno: Centrum pro studium demokracie a kultury (CDK), 2014. (p. 122 – 124) [17] Ibid. (p. 124 – 125) [18] HAY, Denis. Evropa pozdního středověku 1300-1500. Praha: Vyšehrad, 2010. [19] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [20] Concile de Constance. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_de_Constance [21] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [22] Concile de Constance. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_de_Constance [23] Papežské schizma. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-5] Disponible sur: https://cs.wikipedia.org/wiki/Pape%C5%BEsk%C3%A9_schizma [24] Grand schisme d'Occident. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident#Le_Schisme [25] Grand schisme d'Occident. Wikidia [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur: https://fr.vikidia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident. [26] Grand schisme d'Occident. Wikipédia, l'encyclopédie libre [en ligne]. [cit. 2018-11-3] Disponible sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_schisme_d%27Occident#Le_Schisme