Nous sommes jeudi, il est six heures du soir et Pavel a décidé de partir en week-end en Bretagne. Pour aller plus vite, il rentre chez lui en métro et appelle Stéphanie.

P : Salut Stéphanie, je pars en Bretagne demain pour le week-end, tu veux venir ?
S : Écoute, je suis désolée, mais j’ai déjà quelque chose de prévu ce week-end. Appelle Jérôme 
et Agnès, je crois qu’ils sont libres.
P : Ok, je les appelle, à bientôt.
S : Salut Pavel, et bon week-end !

Pavel ne sait pas quoi faire. Il a bien envie d’aller en Bretagne, mais il est un peu gêné de demander à Jérôme et Agnès de venir : il ne les connait pas encore vraiment. D’un autre côté, ils savent qu’il est seul, et ils accepteront peut-être son invitation. 

A : Allo ?
P : Allo Agnès, salut c’est Pavel.
A : Ah salut, Pavel ça va ?
P : Ça va. En fait, j’ai décidé d’aller en Bretagne ce week-end, vous voulez venir ?
Ça pourrait être sympa !
A : C’est très gentil de ta part, mais tu sais, Jérôme est malade depuis une semaine et il ne peut 
pas sortir.
P : Ah désolé, je n’étais pas au courant. Eh bien, on se voit plus tard alors.
A : Ok, on se rappelle bientôt, salut.
P : Salut, Agnès.


Courts dialogues :

- Salut Jérôme, ça va ?
- Pas trop. J’ai attrapé la grippe.
- Ah bon, pourtant, il ne fait pas froid en ce moment, c’est curieux !
- C’est vrai, mais tu sais, je suis très sensible aux microbes.

- Bonjour madame ! Le train pour Brest part à quelle heure demain ?
- Il y en a plusieurs. Vous voulez partir le matin ou l’après-midi ?
- L’après-midi s’il vous plaît.
- Eh bien, il y a un train à quatorze heures trente, à quinze heures quarante, à dix-sept heures 
trente et à dix-huit heures trente.
- Très bien, merci, je vais réfléchir.