Mourr»i-;c sans avoir vu naftrc un nouvel ct:it de ehoses? C'est dnuc vruirnciu: le passe est mdrfet I'avcnir ne se dcssins pas encore. ♦ Tot Ru t f v I y- v, Memoires d'un chasseur. * Impossible, docteiir, d'interdire i'huiic cic palme el la cachaca .a un homme qui vierit de perdre ses ma is res bienssdus la erossc des fusils, sous les pjeds des soldats et-qu>;repart; de:ne'^ Jorgf. AmaDO, La Boutique aux miracles. « Les veines de the et de liberte. La ■; delivrance!... II vous arrive a vous autres cabots dc la 18 v,--v, yn:.:;LES;ECAlLLES.DU:C[EL*« Si ■-P Rue-filles-jolies de parier de delivrance en vous ctranglant demotion comme chaque fois que vous parlez d'une chose qui hante de loin et qui ne se montre jamais. Vous rcssem-blez alors ä un enfant devant une galette inaccessible et vos yeux deviennent gros, vos visages s'assornbrissent et vous vous en voulez ct en voulez au monde entier. La liberte jj> vous va bien mat...;Liberte! Liberte! Liberte!... Trois fois : & Pidee et trois coups dans vos cceurs de sempiternelle paniquc. & Moi je ne la revais pas. Jc ne 1'incantais pas. Je la vivais, la liberte! Et, de ma monture celeste, parmi les jeunes •4*$ lilies aux cheveux de feuillage, je voyais Leydi-Bondi trotze tincr, on eüt dit avee allegresse, dans ses sentes boueuses ^ et: s'encastrer; V, gonds de sa routine. Je vous voyais tous je vous dis... .;Yabouleh off rait ses charmes, moulee dans son bikini , jersey et son soutien-gorge ajoure, prometteuse au lit, rien |S de plus vrai. Elle s'appuyait le flanc contre un tnur bordant ■^le:.^pttoiri: nonchalante: comme:& ^'d cet air lubrique avee lequel eile sait si bien eveillcr les sens -p des; hömmes. Elle niächonnaii un briri d'aSlumetteet röuiätt: f-O ses yeux de velours. Elle savait que les hommcs aimaient ^ sa timidite feinte, ses silences de sainte nitouche, ses dents SS» nacrees, sa peau laquee aux reflets de cuivre. Penda, sa .slson nom - se meia: a^iotree^^ filigrane~^on*Tntrusion Chez Ngaoulo^ gravee dans ma memoire de facon indelebile. Des annees plus tard, cet evenement se reveillera en moi chaque fois qu'il me sera donne de poser mon regard sur cc jeune homme sombre et timidequi n'arretait pas de se lisser le bouc... Mais la nature est meticuleuse et Cousin Samba n'est certainement pas nc avec une barbe. ■ Commencons done-par son enfance. 26