1. Commentaire La deuxième partie de la partie pratique est le commentaire. Lors de la traduction, on a choisi plusieurs aspects de l’original qui valent notre attention. On les expliquera, citera les exemples pratiques de la traduction faite et les commenter. (zatím to mám jen teoreticky, ještě doplním ty příklady z překladu a něco k nim napíšu, okomentuju je) 1. 2. 2.1. Temps verbaux La langue tchèque n’utilise que trois temps verbaux : le passé, le futur et le présent. La langue française a plus de temps verbaux, ce qui le tchèque compense par la catégorie de l’aspect. L’aspect accompli pour les actions finies et l’aspect inaccompli pour les actions non-finies.[1] La catégorie de l’aspect s’applique lors de la traduction des temps du passé. Où le français utilise l’imparfait, le traducteur vers le tchèque s’en sort [P1] de l’utilisation de l’aspect inaccompli. Au contraire, où le français emploie le passé simple ou le passé composé, le tchèque emploie l’aspect accompli.[2] Il arrive que le tchèque utilise le verbe à l’aspect inaccompli pour une action finie pour exprimer la durée. Cela est causé par le point de vue formel du français : si l’action est accomplie, on emploie le passé simple ou le passé composé.[3] La catégorie de l’aspect est possible [P2] à utiliser en traduisant les temps du futur. Néanmoins, il faut dire qu’on ne peut pas prétendre avec certitude que tel aspect correspond à tel temps (soit le futur simple, soit le futur proche). En outre, le français utilise le présent pour exprimer l’action future.[4] Ce qui est intéressant concernant le temps du présent, c’est son emploi spécial, le présent historique. Celui [P3] s’applique dans la narration des événements passés, il remplit la fonction des temps passés.[5] Le présent historique est souvent utilisé dans les textes de narration [P4] français. Il peut aussi être employé dans la langue tchèque mais son emploi est limité au cas où les auteurs voudraient hausser la dynamique de la narration ou aux cas du suspense le plus grand.[6] Le problème réside dans le fait que le présent employé à[P5] la fonction du passé donne une impression trop actualisante, ce qui n’est pas tolérable dans la langue tchèque. De ce fait, on traduit le présent historique par le passé.[7] Outre le présent historique, Otomar Radina mentionne le futur historique. Celui-ci décrit l’événement d’un certain point de repère. [P6] Il est souvent à proximité du présent historique. En ce qui concerne sa traduction, on peut choisir entre deux possibilités : par le passé ou par le futur, le cas échéant, par le présent. Il faut ajouter que la deuxième possibilité actualise plus.[8] 2.2. Pronom « on » Le pronom français « on » a beaucoup d’équivalents dans la langue tchèque. En le traduisant, il faut être attentif et créatif.[9] Jan Šabršula dit que généralement, le pronom « on » peut être une variante stylistique de n’importe quelle personne du singulier ou du pluriel. Les phrases contenant le pronom « on » sont traduites vers la langue tchèque dans la plupart des cas de la manière suivante : par les phrases avec des verbes pronominaux, la voix passive, la 3^ème personne du singulier, la 1^ère personne du pluriel, la 3^ème personne du pluriel, par les phrases avec les sujets comme « člověk », « lidé », « jeden », « někdo », « kdosi », « leckdo », etc., les verbes au 2^ème personne du singulier ou pluriel. En cas de la négation, les phrases contiennent les sujets « nikdo » ou « žádný ».[10] 2.3. Discours indirect libre On distingue trois types du discours : le discours direct, le discours indirect et le discours indirect libre. Le discours direct cite la parole en forme originale. Le discours indirect commente la parole prononcée. Finalement, le discours indirect libre est une structure qui se trouve entre le discours direct et celui indirect : du point de vue du contenu, il s’agit du discours direct, du point de vue formel, il s’agit du discours indirect. Le discord indirect libre sort de l’intérieur des personnages et en même temps, l’auteur garde ses distances en commentant l’événement.[11] Le discours indirect libre peut avoir la forme du monologue intérieur ou il peut être interconnecté au narrateur. Le discours indirect libre emploie n’importe quels [P7] temps ou modes verbaux, il exprime les attitudes personnelles. La forme graphique est la même que celle du discours indirect, c’est-à-dire sans guillemets. Le discours indirect libre souvent emploie [P8] la 3^ème personne.[12] En traduisant le discours indirect libre, il faut faire attention. Le discours indirect libre dans la langue française nécessite la concordance des temps si le discours se situe dans le passé. En plus, ce passé ne doit pas être explicitement exprimé, mais peut résulter des événements précédents. Donc, le traducteur ne peut pas traduire les temps tels quels sont dans le texte français, mais il faut traduire l’imparfait par le présent, le plus-que-parfait par le passé, le futur du passé (le conditionnel présent) par le futur.[13] En traduisant le conditionnel présent, il faut faire attention. En effet, le conditionnel peut exprimer le vrai conditionnel. Dans ce cas, on le traduit par le conditionnel. Il y a aussi des cas où le conditionnel indique l’incertitude, le locuteur refuse d’assumer la responsabilité d’une déclaration. Ces cas sont traduits par l’intermédiaire des expressions comme « prý » ou « údajně ».[14] 2.4. Contexte culturel et allusions Il est important de conserver les éléments d’époque et de lieu et leurs sens et valeur. Or, l’objectif de la traduction n’est pas de conserver toutes les particularités du milieu historique (malgré tout, il n’est pas possible de conserver la spécificité dans toutes les conséquences, le traducteur ne vise pas à créer une traduction littérale), mais de donner l’impression qu’il s’agit du milieu d’époque. Il faut accepter les éléments qui portent la spécificité d’époque, les autres que le lecteur ne prend pas comme un reflet de la spécificité d’époque perdent son contenu.[15] La distance de temps et de lieu cause l’incompréhensibilité des éléments étrangers dans la culture cible. Ces particularités du contexte culturel et les allusions aux faits connus au lieu et l’époque de la naissance de l’original sont à résoudre séparément. Leur traduction littérale ne doit pas être acceptable, dans ce cas, le traducteur doit procéder à son[P9] propre traduction. Parfois, il ajoute une petite explication directement dans le texte.[16] Telle[P10] explication remplace les faits qui sont contenus dans l’original et qui s’[P11] échapperaient au lecteur sans être expliqués. Bien que l’énoncé finale soit plus long par rapport au texte source, le sens, que la traduction simple n’exprimerait pas, est conservé. Également, Levý propose l’utilisation des notes en bas de page, ce qui n’est pas pratique, alors il préfère les explications dans le texte.[17] Le traducteur utilise les notes explicatives en bas de page dans une certaine mesure. Elles sont à utiliser dans les traductions spécialisées, la traduction littéraire les contient très rarement.[18] Les informations ajoutées dans la traduction ne peuvent pas perturber la fonction de l’original et la situation de communication dans la culture cible. Le traducteur doit former une continuité sémantique entre les textes source et ceux cible.[19] Certaines informations, étant ancrées dans la culture source, comprises dans l’original peuvent se perdre en étant transmises dans la culture cible. Il faut ranger ces traits culturels selon leur priorité, selon leur importance. À la rigueur, il est possible omettre[P12] quelques éléments peu importants.[20] Le traducteur peut compenser[P13] telle perte dans autres parties du traduction, mais il faut faire attention. Cela ne peut pas devenir une règle. Si la langue cible n’a pas d’équivalents pour évoquer le milieu de l’original, il est possible de substituer les particularités sources par l’analogie cible neutre.[21] Les omissions et ajouts qu’on a mentionnés causent le fait [P14] que le texte source et celui cible ne sont pas identiques. Mais le traducteur doit s’efforcer de transmettre le nombre d’informations le plus grand possible et de ne pas créer une différence sémantique.[22] Le contenu de l’œuvre est dépendant du milieu étranger. [P15] Le lecteur en prend conscience au moment où il se heurte à la contradiction entre ce milieu étranger et une expression typique pour la langue cible (les traductions des prénoms, noms des rues, etc.). Le traducteur cherche la meilleure solutions d’un cas à l’autre.[23][P16] 2.5. Traduction des noms personnels et géographiques La traduction des noms est très importante car une traduction mauvaise peut négativement marquer toute l’œuvre. Le traducteur doit tenir compte des systèmes graphiques des langues données, la fréquence des noms et leur naturalisation et les usages d’époque. Ensemble avec les noms concernant les civilisation différentes, ils tiennent le caractère de l’étrangeté, donc ils rappellent au lecteur qu’il s’agit d’une traduction, non pas d’un texte original.[24] Les tendances courantes sont telles que les noms de famille de l’Europe occidentale sont empruntés dans la forme graphique originale. En ce qui concerne les prénoms, ceux-ci souvent ont leurs équivalents dans la langue cible. Sinon, ils sont empruntés avec une modification vocalique ou consonantique éventuelle. Néanmoins, à présent, les traducteurs tendent à laisser les prénoms dans la forme originale bien qu’ils aient leur équivalent dans la langue cible.[25] Si le prénom ou le nom ont une valeur sémantique, il devrait être traduit (dans le cas de l’allégorie ou de commedia dell’arte). Dans ce cas-là, Jiří Levý propose la traduction par la substitution (si la langue source et la langue cible ne sont pas de même famille) ou par la transcription (si le sens du prénom n’est pas important de point de vue sémantique). Il n’est pas possible de traduire les prénoms qui ont déjà une certaine tradition dans le milieu cible même si leur traduction se ferait valoir.[26] Les noms géographiques, s’ils ont leur forme adaptée qui s’est stabilisée dans la langue cible, sont remplacés par ces formes adaptées. Le problème pose les lieux [P17] ou d’autres éléments géographiques qui ne sont pas si fréquents, alors il n’ont pas d’équivalent dans la langue cible.[27] Il faut vérifier les noms géographiques avant de les utiliser et il faut respecter leur usage. Les noms des rues ou les noms des lieux peuvent être rester les mêmes si le lecteur ne doit pas les comprendre aux fins d’une allusion.[28] Les noms des œuvres mentionnés dans l’œuvre ou les citations doivent être traduits par leurs équivalents déjà existants dans la langue cible. Si le traducteur ne considère pas ces traductions comme [P18] réussies, il peut les retraduire.[29] 2.6. Traduction de la troisième langue Le traducteur peut aborder les éléments dans une troisième langue, donc une langue qui n’est ni langue source ni langue cible. Les éléments en langue étrangère ont leur fonction dans le texte et il faut les conserver dans la traduction. Ils s’y trouvent afin de provoquer l’atmosphère du milieu exotique et son authenticité, souligner l’individualité nationale des personnages, ils peuvent faire partie des particularités créés par l’auteur de l’original.[30] Si le traducteur doit traduire les passages écrits dans la troisième langue, il doit trouver les œuvres originales et faire la traduction à partir du texte original, il ne peut pas traduire une traduction. De la même manière, le traducteur doit être attentif aux noms des civilisations ou expressions diverses, il doit les trouver dans la langue originale et les traduire à partir du nom original, non pas à partir de la langue source, ou il peut les laisser dans la langue originale. Dans le dernier cas, le traducteur doit être sûr que le lecteur les comprendra. En plus, le traducteur ne peut pas les prodiguer, mais il doit réfléchir soigneusement à leur utilisation.[31] S’il s’agit des discours courts et standardisés, le traducteur les laisse intraduits.[32] Ce sont les moyens de l’étiquette (les appels, les salutations, les félicitations, etc.) dont la traduction le traducteur ne s’occupe pas[P19] , il simplement trouve un équivalent dans la langue cible.[33] Le traducteur devrait traduire les phrases importantes de point de vue sémantique et laisser les courtes réponses ou les salutations en langue étrangère ou les traduire et à la fois les combiner avec une petite explication accompagnant le verbe introducteur suivant le discours direct en langue étrangère (par exemple, il a dit en allemand).[34] En général, la traduction des éléments étrangers dépend de l’intelligibilité de la troisième langue. Il faut ne pas sous-estimer le lecteur par la traduction de [P20] tous ces éléments et traduire les éléments important de point de vue de la sémantique.[35] Enfin, le lecteur ne doit pas prendre conscience de la présence d’une autre langue dans le texte s’il n’est pas dérangé par un manque de clarté ou s’il n’éprouve pas une étrangeté du texte.[36] 2.7. Traduction du titre[P21] La traduction du titre est une question exclusive. Elle est sous l’influence des tendances courantes. Aujourd’hui, la tendance est que le titre est considéré comme n’importe quel élément contenu dans le texte. Dans la plupart des cas, le titre est une traduction sémantique qui évoque la même allusion que le titre original. Les modifications du titre sont rares, le titre original est respecté.[37][P22] Si le titre est descriptif et informatif, détermine le thème du livre, il faut ne pas modifier cette fonction, ne pas rendre le titre plus esthétique. Si le titre est symbolisant et court, de nouveau, il faut conserver ces caractéristiques et aussi tenir compte du élément illustré qui peut accompagner le titre.[38] Les modifications du titre sont entraînées par les raisons objectives et celles subjectives. Les motifs sont souvent des intentions de naturalisation (afin de rapprocher le titre au lecteur cible) ou des problèmes linguistiques, soit les problèmes avec la déclinaison des noms étrangers ou la féminisation des noms de famille ou de métiers. Mais normalement, les noms étrangers ne représentent pas de problème dans le titre.[39] Il y a aussi des raisons extralinguistiques. Celles qui concernent les différences dans les civilisations. La traduction du titre donc résulte de tout l’œuvre.[40] Le titre peut se lier à la culture source, alors parfois, un sous-titre est ajouté.[41] Le titre dépend de la maison d’édition. Cette dernière parfois veut éviter un titre banal pour inventer un titre plus captivant. Les éditeurs simplement prennent le succès commercial en considération. Le titre attire l’attention et les maisons d’éditions peuvent avoir la haute main dans le processus de décision concernant le titre. Dans ce cas-là, les traductions sémantiques sont à part. Il arrive que les maison d’éditions choisissent un titre très semblable à un titre d’un livre qui a du succès.[42] Les titres de quelques œuvres sont devenus partie de la tradition traductologique et ils font partie de la conscience culturelle cible. Si a traducteur invente un nouveau titre, celui-ci peut rencontrer difficultés d’être accepté. Si le nouveau titre est toutefois meilleur que le titre existant, il est justifié.[43] ________________________________ [1] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 67. [2] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 68. [3] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 68. [4] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 64. [5] Štícha, František. Historický prézens. In : Petr Karlík, Marek Nekula, Jana Pleskalová, eds. CzechEncy - Nový encyklopedický slovník češtiny [en ligne], consulté le 16 mars 2018. [6] Čechová, Marie – Krčmová, Marie – Minářová, Eva. Současná stylistika. Praha : Nakladatelství Lidové noviny, 2008, p. 155. [7] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 63. [8] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 64. [9] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 170. [10] Šabršula, Jan. Problémy srovnávací stylistiky francouzsko-české a česko-francouzské. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1974, p. 180. [11] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 146–147. [12] Čechová, Marie – Krčmová, Marie – Minářová, Eva. Současná stylistika. Praha : Nakladatelství Lidové noviny, 2008, p. 307. [13] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 146–147. [14] Radina, Otomar. Francouzština a čeština : systémové srovnání dvou jazyků. Praha : Státní pedagogické nakladatelství, 1977, p. 92. [15] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 109–111. [16] Povejšil, Jaromír. Kulturní kontext, aluze. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 155–157. [17] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 113–115. [18] Kufnerová, Zlata. Čtení o překládání. Jinočany : H & H, 2009, p. 40–41. [19] Fišer, Zbyněk. Překlad jako kreativní proces : teorie a praxe funkcionalistického překládání. Brno : Host, 2009, p. 21–22. [20] Knittlová, Dagmar a kol. Překlad a překládání. Olomouc : Univerzita Palackého v Olomouci, 2010, p. 29. [21] Povejšil, Jaromír. Kulturní kontext, aluze. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 155–157. [22] Fišer, Zbyněk. Překlad jako kreativní proces : teorie a praxe funkcionalistického překládání. Brno : Host, 2009, p. 15. [23] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 88. [24] Straková, Vlasta. Překládání a vlastní jména. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 172–174. [25] Straková, Vlasta. Překládání a vlastní jména. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 172–175. [26] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 106–107. [27] Straková, Vlasta. Překládání a vlastní jména. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 175. [28] Kufnerová, Zlata. Čtení o překládání. Jinočany : H & H, 2009, p. 37–39. [29] Kufnerová, Zlata. Čtení o překládání. Jinočany : H & H, 2009, p. 36. [30] Hrdlička, Milan. Překladatelské miniatury. Praha : Karolinum, 2^ème édition, 2014, p. 55. [31] Kufnerová, Zlata. Čtení o překládání. Jinočany : H & H, 2009, p. 36–39. [32] Straková, Vlasta. Třetí jazyk a překládání. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 62. [33] Kufnerová, Zlata. Jazyková etiketa v překladu. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 160–162. [34] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 116–117. [35] Hrdlička, Milan. Překladatelské miniatury. Praha : Karolinum, 2^ème édition, 2014, p. 61. [36] Straková, Vlasta. Třetí jazyk a překládání. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 58. [37] Kufnerová, Zlata. Co s titulem literárního díla. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 149–152. [38] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition, 2012, p. 140–141. [39] Kufnerová, Zlata. Co s titulem literárního díla. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 149–152. [40] Kufnerová, Zlata. Co s titulem literárního díla. In : Kufnerová, Zlata – Skoumalová, Zdena, eds. Překládání a čeština. Jinočany : H & H, 1994, p. 152. [41] Fišer, Zbyněk. Překlad jako kreativní process : teorie a praxe funkcionalistického překládání. Brno : Host, 2009, p. 120–124. [42] Fišer, Zbyněk. Překlad jako kreativní proces : teorie a praxe funkcionalistického překládání. Brno : Host, 2009, p. 120–124. [43] Levý, Jiří. Umění překladu. Praha : Apostrof, 4^ème édition , 2012, p. 142–143. ________________________________ [P1]se sert? [P2]nejde, se prête [P3]-ci [P4]narratifs [P5]avec/ dans [P6]zde asi de vue [P7]tous les [P8]2,1 [P9]sa [P10]Une [P11]D [P12]d‘ [P13]une telle [P14]naopak, sont dûs au fait que/ causés par le fait [P15]ne zcela sroyumitelné [P16]zde by se dala zminit lokalizace – kdy, které typy textu... [P17]pozor na stavbu věty [P18]D [P19]takto nelze, přeformulujte [P20]et traduire [P21]k tomuto tématu byste jistě našla i nějaký fr. zdroj, pro porovnání by byl užitečný [P22]ve francouzštině naopak