Adverbes de degrés, de quantité et ďintensité (Gram. §§ 604—612) 1. Remplacez les trois points par si ou aussi, tant ou autant: Je n'aurais jamais cru qu'une femme put étre . .. belle. — II a fait ... de fautes que vous. — J'ai . .. travaillé ce printemps! — Get enfant a . . . grandi depuis ces deux derniěres années que je le reconnais ä peine. — U y a ... d'occasions de s'instruire! — Le mérite a parfois des charmes .. . puissants que je cours partout aprěs lui (Moliere). — Le nom de la vertu sert ä ľintérét . .. utilement que les vices (La Rochefoucauld). — Jamais il ne s'était senti . . . miserable, ... inutile, ... petit garcon (Zola). — Rien ne nous rend ... grands qu'une grande douleur (Müsset). — II a été . .. amical et . .. ouvert avec moi que le permet son caractěre froid (Stendhal). — Je souffre ... que je ne peux me relever (Sand). — Elle éprouvait ... de rancoeur qu'elle sou-haita de mourir (Martin du Gard). — ... d'liommes, ... d'avis. — Tächez d'en faire ... — Je ne pensais pas qu'il aurait ... de patience. — Je com-prends qu'il soit fatigue, il a ... travaillé. 2. Remplacez les trois points par beaucoup ou de beaucoup, davantage ou plus: J'aimais .. . les neurs autrefois, dit la malade en soupirant (Mérimée). — Vous promettez beaucoup et donnez ... (Corneille). — Les fables de la Fontaine sont . .. plus célěbres que ses autres ouvrages. — Rien ne derange . . . une vie que l'amour (Mauriac). — Pauline prenait son parti . . . moins facile-ment qu'elle ne le disait (Gide). — II le dépasse ... — Gardes, obéissez sans tarder . . . (Racine). — II ľaime comme frěre, sinon ... — Tu me haiissais .. ., je ne t'aimais pas moins (Racine). — II souffre ... — Voilä ce que m'a coůté ma mere. Je n'en sais pas . . . (France). — Je vais ... mieux aujourd'hui qu'hier. — Vous avez beaucoup ďamis, moi, j'en ai . . . 422 3. Traduisez en francais les phrases suivantes: Váš syn už nepracuje tak dobre ako predtým. — Ďakujem pekne. — Dnes prší chvalabohu menej ako včera. — Je veľmi spokojný s tvojou prácou. — Chorý sa dnes už cíti omnoho lepšie ako včera. — Zdá sa, že má viac ako tridsať rokov. — Máte veľa kníh, ja ich však mám omnoho viacej. — Pijete priveľa, nezdá sa vám? — Ste príliš náročný. — Váš otec je príliš prísny. — Toľko som pracoval tejto jesene, že si naozaj potrebujem odpočinúť. — Nemohla vypovedať slovo, tak plakala. — Toľko je tu ľudí, že sa nedá prejsť. — Ste veľmi láskavá. — Si veľmi hladný ? — Môžeš mi požičať aspoň desať korún ? — Opýtajte sa otca, vie o tom viac. — Tá úloha nie je taká ľahká, ako si to myslíte. — Mám jednu ceruzu nazvyš, môžem ti ju dať. — Nepracuje toľko, ako jeho spolužiaci. — Ten obraz bol taký pekný, že som si nemohol od neho oči odtrhnúť. Adverbes ďaffirmation et de negation (Gram. §§ 614—627) 1. Distinguez ne marquant la negation de ne explétif et de ne appartenant ô la locution adverbiale de restriction ne ... que, puis traduisez les phrases en slovaque: Elle n'a que vous seul; vous étes en ces lieux son pere, son époux, son asile, ! ses dieux {Racine). — Ces fleurs dont la beauté ne s'ouvre que la nuit {Vigny). — Sur la route, on n'apergoit j>resque point d'hommes {Chateaubriand). — II ne fut point surpris, il ne háta pas sa marche, il ne pressa point ses mouve-ments {Maupassant). — La question se posa sur mes lěvres autrement que je ne ľaurais voulu {Proust). — II ne me restait plus qu'ä avertir ma gouver-nante {France). — Eien ne compte ä ses yeux, rien n'existe que son amour {Mauriac). — Elle ne se montra qu'á ľheure du dejeuner {Maupassant). — Je doute qu'il ne vienne. — Je vous connais bien mieux que vous ne le croyez. — Le calme de la steppe n'est plus trouble que par le hurlement des chiens et le hennissement des chevaux {Mérimée). — Nous partirons cet aprěs-midi, ä moins qu'il ne pleuve. — Ne pars pas avant que tu n'aies termine tes devoirs scolaires. — Je ne sais que penser de cette affaire. -— On n'en pit que du bien. — Empéchez que cet enfant ne joue avec des allumettes. 2. Remplacez les trois points, quand il y a lieu, par ne, joignez-y pas lá ©u c'est nécessaire et traduisez les phrases en slovaque: II craignit, en la voyant, que son imprudence ... lui coutät eher {Musset). — II détala ä toutes janíbes, comme s'il avait peur qu'on ... le poursuivit (Rolland). — Je me plains de mon sort moins que vous . . . pensez {Racine). — La vie est plus simple qu'on . . . le croit. — II n'y a personne ici qui . .. le sache. — II n'est si petit metier qui . . . nourisse son maitre. — Tout ce qui reluit ... est or. — Ne voyons pas ľaffaire autrement qu'elle ... est. — On est souvent malheureux parce qu'on ... a voulu suivre les bons conseils. 423 — Avez-vous peur que je ... vous fasse des reproches? — Je ... cesse de vous le répéter. — J'ai peur que mon héros ... vous paraisse étrange (Musset). — II s'en fallut de bien peu qu'ü . . . réussit. — Je ľai appelé, mais il . . . m'a répondu. — Si je ... me trompe, je l'entends arriver. — Prévenez-le avant qu'il ... soit trop tard. — Je ... puis vous le dire. 3. Traduisez en francais les phrases suivantes: Nevieš, či Pavol príde na schôdzu? Istotne príde. — Chcete to skúsiť? Áno, skúsim to. — Rozhodne sa Peter ísť zajtra na skúšku? — Azda sa rozhodne. — Nerozumel si otázku? Ale áno, rozumel som ju dobre. — Nie, dnes ho neprijmem. — Prídeš zajtra k nám? Me, myslím, že nie. — Robí to z nutnosti, a nie preto, že sa o to skutočne zaujíma. — Nepochybujem, že ste chorý. — Zajtra neprídem. — Hovorí len po francúzsky. — Bojím sa> že lekár príde príliš neskoro. — Dajte si pozor, aby vás tam neoklamali. — Neodvážil sa vstúpiť. — Neviem, čo teraz robiť. — Prisahal, že už nikdy viac nebude fajčiť. — Je dnes ráno chladno? Nie, vôbec nie. — Urobil to nechtiac, nie úmyselne. — Písal som ti už dva listy. Vôbec si mi na ne neodpovedal. — Starý otec už nevládze chodiť. Z domu vôbec nevychádza. — V posledných dňoch som ho vôbec nestretol. — Je menej šikovný, ako som myslel. — Upozorni ho, skôr než bude neskoro. —- Bojíš sa, že príde (nepríde) ? — Neodvážil som sa ho prerušiť. — Nič mi pre vás neodovzdal. — Už týždeň nepršalo. — Ostanem tam iba chvíľku. — Nikdy ešte nebol v Paríži. — Nemám žiadnu chuť ísť dnes do kina. — Môj brat má len šestnásť rokov a už fajčí. — Pozná vás lepšie, ako si myslíte. — Bez námahy človek nič nedocieli. — Nemám obavu, že zabudneš na moju radu. Place des adverbes (Gram. §§ 628—629) 1. Quelles remarques faites-vous sur la place des adverbes dans les phrases suivantes? Les matelots étaienť répandus péle-méle sur le tillac: nous étions tous de-bout (Chateaubriand). — II est beaucovvp plus de minuit (Duhamel). — Le chemin de fer monte beaucoup, mais graduellement, et l'on croit toujours rester en plaine (Rolland). — Le vieux travailleur travaillait lentement, en silence, sans efforts inutiles. — Quand il pleuvait trop fort, ou que le soleil piquait trop dur, il se réfugiait sous les chénes (Bažin). — II a beaucoup souffert. — II a été infmiment plus rapide que moi. — Enfin, grace aux dieux, j'ai moins d'un ennemi (Corneille). — Soit béni, pauvre enfant, téte aujourďhui glacée (Hugo). — Point de pain quelquefois et jamais de repos (La Fontaine). — Jamais le temps ne me dure (Lamartine). — J'aimais travailler bien, j'aimais travailler vite, j'aimais travailler beaucoup, et quand j'avais bien travaillé, ma grand-mere et surtout maman me faisaient des compliments dont j'étais délicieusement heureux (Péguy). — Cette sorte de jeu dédaigneux m'avait ému singuliěrement. — Un navire y passait majestueusement (Vigny). — 424