ADVEHBIA
Jtvorte od adjektiv adverbia a uiijte ve vetach:
haut, juste, fort, clair, baa, franc, doux, see, vif, prudent,
/rai, 6perdu, du, assidu, assure1, conforme, aavant, lent, gentil.
Nahradte substantiva a pfedlofekou sdverbiem;
avec dignity, avec clart<§, evec bruit, avec triomphe, en silence,
avec honte, en paix, avec minutie, par instinct, sana pitie, avec
/igueur, avec amertume, avec pompe, avec Evidence.
Pfeloites
i. . i.
II. Le travail dans lea usines avance bien. 2. Le chemin derriere
notre jardin eat maintenant trea boueux. 3. Le baasin houiller
de notre region est essez important. 4. Aux environa de Saint-Emilion
on voit partout dea vignoblea. 5. Hier noua avons exp6di6
toutes lee eaisses avec lea pommes. 6. Quand 1 hiver a approchait,
lea troupeaux deacendaient toujoura dans la valise, 1. Avant-hier
j.'ai fait la lessive et aujourd'hui je vaia repasaer. 8. Le chef ^
de notre magasin est un homme bien. 9» On donne cea prospectus
gratuitement. LO. Autrefoia cette region 6tait peu habitue.
1« Kxpliquez-moi clairement de quo! il s'agit. 2. L'homme aveugle
aarchait a tsitona. 3* La mere soignait tendrement son enfant. 4*
Je regardais longuement le tableau de Delacroix. 5. j'avais examine"
avec soin lea comptes et j ai trouve" tout en ordre. 6. Lea
ouvriers ae sont mia au travail avec une grande ardeur. 7. Le directeur
a prononc^ son ordre d'un ton severe. 8. Vraiment, la
pneumatique est creve"e. 9. Tu dois travailler asaidument ai tu
veux finir avec succes tes 6tudes. 10. Ferme doucement la porte
pour que Jacques ne ae r6veille pas. 11. La scene du theatre est
6norm6ment grande. 12. Pourquoi le laisaea-vous impun4ment inaulter
vos camarades absents? 13. A I'lnatitut d'Art on noua a genti-
151-
msnt regus. 14. Comment pouvez-vous tellament ne"gliger votre
II.
1, Mm® de Rcstaud aysaat manifest^ le d4sir de gsrder son pere,
Eugene-descend!t pour prendre un peu de nourriture. Bal.
2, Slle gtait toute pale, en effet. Dans la toile souvent Iav6e
de sa robe blanche a fleurs imprimeea, elle faiaait peur, la bonne
gross®.-. Jxr'Jf,
llles feulent aujourd'liui le plaiair? aousne elles voulaient
autrefoia du bonbon* Bale
4. j'e'taia aasez pres, tout a mon aiae} parfaitem«5nt invisible.
C"6tait si hewps d<s tout® pj^?isioiis mais si s point, cj«« j'en
auia demeur4e saisie. Bl.
5. Eugene attaudit pendant longtemps.- n se meyrt pait-etre en
«& momentj penaait-il« Bal.
6. A mesure c^ie j'entre dans e«s moud® d© doule^ar et de puissance
humaine, Je sens que s'organise un vaate poem® dramatique. Hoi.
7» "Oncle Wilhelml" s 4crla de nouveau Joseph, et il saisit
1'oncle a plein bras contr© luio Bl»
polj/t^ ne dit mot, saais regard® par ^^-o.^ssov^, 4 droite
fee,sas^a toumer la tete, pour conaauniquer sa d4cision
aux veatons qui 1 entouralent. Bl.
§.9 Parlsas fr-aac, Courvoisierl*** Plus que toi, je dois vi¥re
avee eux co^te » cote. Rol.
10. C est bon, je sais tout cela. Si Lorenzo est ici, c'est qjii
j ai de bonnes raisons pour 1 y reeevoir. Nous en par.lerona en
temps et lieu. Mus.
!!• A propos, ajouta-t-il l^gerement, j ai rsga la visite de
¥Otre tante... II observa Quillaume en dessous. Coct.
^ % % A
12. C est une chose a peu pres faite maintanant. Elle a muri
lentement. Rol.
13. Mais enfin on ne peut penser exactement la meme choae. Logiquement.
II aurait du penaer la chose que moi* Ar.
14. II ne se diaatt pas cela crument, il n etait pas encore
asaez politique pour chiffrer une situation, 1 appr4cier et cal-
culer.Bal.
a
en
.
15• Puias tout®s les £®Mm®s, ne peasant rien dire a dee
questions aassi drument poae'es qua 1Visit celle d® 1 gtudiant,
elle r^pondlt a. autre chose. Bal. /*>•_ ,lf,-?,
16* Elisa remplisaait du''reste airec scrupuie les clauses du eontrat
et assurait abondamment la perpdtuiti d@ la nouvelle raison/7
aoclale. Bl.
III.
1» VSera jsme se vr^tili dom& posd§« 2» Pf'inesll dost
ale fBQ^lo'ostruSin., p. ListonoS dal tuto Mailku oi^rlem. 4.
Tento chirurg pracuje veliai sv§domitle. 5* Zitra budeme
cbiael. 6* Til a tarn je j©§t6 \idgt atopy zemfe'tf'eseni. 7
je toed vedle mostu* 8* Skladnlk V&M. vyd6 ¥§echno zbo^i najednou
$» Nech si trochu pen^fs stranou*./lQ./I©K&stala js^ dlouho
ku. 11. Karel opravil v seSitl faned obi chyfej. 12• Deti s®
jensne §MdlI.\yB 13o Bray pojedeme p?ea francou^sko-nemeckou hra-j
nisi* 14* ObSas si sahraji tak4 na klavlr.
1* ¥ naSl zemi je sklafsk^ prfi^-sl na vysok^ dro¥nis 2. Musite
mluvit k Mk&m hlasite. 3. llluy pot.ichu, dSti spl. 4. Jddte st6le
pfimo, neodbocujte 's^cesty." "^. VJis soused j'ednal'veiice podle.
6. Stf@lec aifil veliai pfesnS. 7« yaSe^ smutad. zpr^ya nis hluboce
dojale. 8. SednS^a si pohodlnd. 9. S'trojv4dce je" xS^ee ranto. 10.
Spoledniei ho'zrildnS opustill. 11. Diktujte prosim pomalul 12... ..'J«t<T^-rvM:i,W—
Sof4r prudc^. protestoval, kdy£ mgl platit pokutu.
^> ti^y^i^ ^ &.
S t u p n o v d n i a d r e r b i l
Pfeloltes
I.
1. J^cris plus vite! 2. Je me auis d4ja repoa^ et je me sens maintenant
mieiuu 3. Le secretaire ¥ous dira les conditions de I'inacription,
il en eat le mieux infors^. 4. Adress@z-vous au facteur,
il eonnait le mieux les noais des rues du cpartier. 3. La nowelle
tour en face de la gare me plait tres peu. 6. Cette ann^e 1'abonnement
aux concerts coute plus ehers 7« Les membres de notre eoop4rative
agricole sont tres nombreux. 8. Dans notre atelier il
- 153 -
fait tres froid. 9. Si tu ne veux pas m'accompagner, tant pis,
j irai seal.
II.
1. II eat malheureux que 90 ne se soit pas mieux arranged.. II
faudra voir ailleurs. Sa.
2. Jamais les loups ne furent mieux dgguise's en bergers que pen~
dant les premiers mois d*occupation. Yerc.
3. II vaui mieux preter sur gages que preter sur rien. - Assure"rnent.
Lea.
4® II n'y a peut-etre pas tant de danger que vous ne le pansez.
- C'est on grand hassrd s'il rencontre Salviati ce soir. Demain,
nous verrona toutes les choses plus sagement* Mus.
5» Ellen avait pasmanqu4, non pluss a peine devenue tante, de
declarer, un soir, que rien ne 1 ^nervait davantage que le bruit
de la flute. I/instrument s'dtait tu a jamais ce soir-la. Bl.
6. J appris ce jour-la qu urie main peut, pour qui salt 1 obser*
*
ver refl^ter les Emotions aussi bien qu un visage et mieux qu un
visage, car elle ^chappe davantage au controle de la volonte".
Verc,
7. Je connais mieux mon sang, il sait mieux son devoir. Corneille.
8. On travaillait peut-etre avec plus de coeur qu'aujourd'hui,
mais les fetes e"taient nombreuses, on se donnait davantage de relache.
Pourrat.
9» L» plupart d entre nous ont bien davantage besoin de la paix
inte"rieur que de la v6rit^. R. Martin du Gard.
10. Moins il iivait d'argent, plus il buvait d'eau de vie. France.
11. Un jour plus tot, un jour plus tard. Ce n'est pas grande diffe"rence.
LaT.
12. La prose eat pis encore que les vers. Moliere.
III.
1. NavStivte nas Castgji. 2. Nej6ast6ji chodlme k panu Bertrandovi»
3. Nebu3 tak zv^davy, dozviS ae vSechno pozdeji. 4. Vezmi si
to druhe1 zavazadlo, je lehSl. 5. Nadrafcni restaurace je kousek
dal. 6« Tovarna na obuv je odtud velice daleko. 7» PrCiSeli zdejMho
zamku je mgng hezki ne£ pru5eli z^mku u Ms.
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K e k a p i t u l a £ n i c v i f i e n l
PfeloSte:
1. Zapomn^l jsem bohu^el Slslo dorau, kde pan Lepic bydli. 2. Brzy
prijdeme vas zase nav§tivit» 3. V na§em kraji je puda iMlo d~
4. Zelenina je nyni drahd. 5- Chlapec n6s zdvofile pozdravil.
6. Pes pronasledoval slepS zajice. 7. Pfines r,ychle 6erst-
HtA/lJL,
vou vodu. 8. Bezpochyby si mysliSj 2e jsem zapomngla Vyfldit tvou
z^lesitost. 9. V I^t6 jame obSdvali obvykle na verandS. 10. Kdy~
si zde byly skuteSne hlubok4 lesy. 11. Nahle jsem si vgpomnela,
ie nem^m u sebe dost pen^z. 12. Hoch se ^iv§ oto5il a radostnS
ae na me podival.
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