Partie IIIPartie III Chapitre III-Le fantastique 3.1. La littérature fantastique 3.2. Le fantastique belge 3.2.1. Franz Hellens (1881-1972)3.2.1. Franz Hellens (1881-1972) 3.2.2 Jean Ray (1887-1964) 3.2.3. Les caractéristiques d’un récit fantastique+ pistes pour l’analyse 3.1. Le fantastique3.1. Le fantastique ◦ Se manifeste dès le XVIIIe puis, plus largement au XIXe siècle, d’abord dans la littérature anglo-saxonne (ex.Edgar Allan Poe, traduction de ses contes par Baudelaire) ◦ récits courts : nouvelles, contes ◦ Premiers représentants importants: Guy de Maupassant, Théophile Gautier, ou Villiers de L’Isle-Adam. ◦ Définition pas des théoriciens (cf. extraits Todorov et Caillois) 3.2. Le fantastique belge3.2. Le fantastique belge ◦ se développe dès avant la Première Guerre mondiale, mais trouvera ses formulations les plus abouties après les années 1920. ◦ courant qui donne lieu à une véritable « école » (àp des années 50, on parle de « l’école belge de l’étrange »), encore active de nos jours, en se mélangeant à d’autresencore active de nos jours, en se mélangeant à d’autres genres (réalisme magique, historique, etc.). ◦ constituera une sorte de « niche identitaire » permettant à la production belge de conserver sa spécificité par rapport à la littérature française. (Denis-Klinkenberg, La Littérature belgeprécis d’histoire sociale, p.187.) Auteurs et théoriciens postulent des affinités particulières entre la littérature belge et le courant fantastique: quid? ◦ Idée trouvant sa source dans une psychologie des sentiments et littératures nationaux remontant au XIXesentiments et littératures nationaux remontant au XIXe siècle. ◦